Nom : d'Argile
Prénom : Cob
Age: 29 AH
Sexe: Masculin
Race : Humain
Caractéristiques:
Force : 33
Intelligence : 31
Endurance : 32
Charisme : 30
Vitesse : 28
Magie : 25
Profession :Guerrier
Magie : Non pratiquant.
Dieu servi : Non croyant.
Arme et protections: l'épée courte
Description physique: Pas plus beau ni plus laid que de moyenne, Cob a un semblant banal, austère. C'est un homme qui ne sort pas des foules par une hauteur de tête plus grande que de moyenne, ni plus petite. Sa corpulence et sa musculature rejoigne la même banalité d'un paysan, un travailleur. Une peau légèrement tannée, des traits neutres, des cheveux bruns-noirs...
C'est le genre d'homme dont on n'arrive pas à mémoriser les traits même après l'avoir côtoyé longtemps !
Description mental: Ne se lasse que rarement. De quoique ce fusse.
Se contente de peux. Admire les grands esprits, les grandes philosophies... Haï ceux qui leurs font barrage. Sa philosophie est bien plus profonde et idéaliste, forgée dans le dépit et l'exaltation à la fois (et non à la foi !). Mais celle-ci, je ne la raconte pas.
Test de RP :
Cob soupira, étudiant la pâleur de la clémentine dans le creux de sa main. Ça n'augurait rien de bon. Sous son regard désabusé, sa main en vola un quartier, qu'il déchira en deux. Observant avec soin la pulpe qui saillait, il osa enfin en goûter la chair. Aucune surprise. Le goût se révéla fade et amère. C'était presque un soulagement ! Un marchand généreux en ces contrées aurait été la première des anomalies...
Au moins cela rabattait les dernières suspicions de Cob quant à la nature de son acquisition ; au prix fort modeste dont il avait acquis le sac de fruits il avait d'abord pensé à des fruits malades, empoisonnés : immangeables... Mais elles étaient juste de piètre qualité. La bonne affaire !
Pourquoi les avait-il donc achetés en ce cas ? La question se poserait à peine s'il avait été quelques peux éclairé ; cher ou pas, dans les hautes sphères ou non, les chances de trouver un marchand honnête se valait bien. Pour Cob c'était plutôt parce que sa bourse ne permettait guère plus que de frayer avec un marchand vagabond, et que son amour propre n'aurait pu refuser la proposition "alléchante" du quidam qui l'avait quasiment supplié d'acquérir un peux de sa marchandise.
— Hey, toi !
Perdu dans ses pensées l'homme avait presque oublié que, fourbu, il s'était assis sur un tronc pour se ressourcer. Ce qui lui avait permit de s'asseoir là en toute insouciance en cette jungle hostile, c'était grâce aux rondes des gardes. C'était ceux-ci également qui l'interpellait.
Comme en rêve, il les vit approcher. Il nota que la démarche agile de ces rôdeurs tanguaient... Ou étais-ce la jungle qui tanguait ? Son tronc ? Lui ?
Le visage sévère et bronzé du contrevenant (qui ne cessait de tanguer) argua ;
— Remues-toi. T'es pas sensé prendre racine plus d'une dizaine de minutes par ici. L'halte, c'est dans quelques kilomètres. Au cas contraire, la faune aura le plaisir de goûter à ton odeur, et t'as vite fait de te trouver un prédateur au cul. Mais ça j'espère que tu le sais. Maintenant... Hep ?
Clignant des yeux, Cob essayait avec difficulté de suivre la voix rude du guerrier, comme une berceuse... Il avisa enfin que sa main tremblait. Et qu'il claquait des dents ?
Étrangement, il était bien... Il se sentait bien ! Un petit somme et...
Il sentit un chaleur qui lui monta au visage alors que le guerrier le giflait pour le sortir de sa torpeur.
Puis il s'endormit.
(Voili, voilou ; fallait que je me décide à lancer ça à quelques moments, même si c'est pas aussi travaillé que d'accoutumé... Et que ça me laisse un goût de truc inachevé dans la bouche... Je me retaperais ultérieurement. [ou pas ?])